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Matière collante déposée au dos du frontal pour permettre sa tenue sur un support. On distingue plusieurs types d’adhésifs (permanent, renforcé, enlevable, congélation, etc.).
Tirage simultané, sur une même feuille, d’impressions différentes prévues sur le même papier et dans les mêmes couleurs.
Phénomène de déformation de l’image imprimée, dû au mode d’impression cylindrique en relief.
Cylindre métallique utilisé pour l’impression flexographique. Sa surface est composée de minuscules alvéoles servant à recevoir l’encre liquide, à la doser et à la transférer sur le cliché flexographique.
Poudre déposée sur les feuilles imprimées au cours de l’impression empêchant les feuilles de se coller entre elles tout en limitant le maculage.
Surface partielle ou totale d’un document, recouverte uniformément par une couche d’encre d’une seule et même couleur.
De l’anglais «American Standard Code for Information Interchange». Norme de codage de 128 caractères alphanumériques sur 7 bits. Les versions étendues sur 8 bits, 256 caractères sont adaptées suivant les pays.
Sens de défilement de la bande, également appelé hauteur.
Egalement appelé dorsal ou protecteur. C’est la bande de roulement supportant le complexe adhésif ou les étiquettes.
Lettrage typographique écrit en caractères minuscules.
Document permettant la dernière vérification d’un élément à imprimer avant son impression, et dégageant la responsabilité de l’imprimeur en cas d’erreur subsistante, dès lors que le client a donné son accord sur le B.à.T.
C’est la proportion de colorants CMY (Cyan, Magenta et Jaune) permettant de produire des gris neutres sans dominante de couleur.
Procédé consistant à superposer des trames d’une certaine couleur primaire afin d’obtenir une autre couleur.
La bichromie est une technique par laquelle on reproduit par l’impression une image à l’aide de deux couleurs tramées.
Contraction de l’anglais «Binary Digit», c’est l’unité binaire de quantité d’information qui peut représenter deux valeurs distinctes, 0 ou 1. Un champ de 8 bits constituant ce qu’on appelle 1 byte ou 1 octet.
Nom de format d’un fichier obtenu après numérisation d’une image convertie en une grille de pixels. La couleur de chaque pixel est définie par un nombre spécifique de bits.
Matériau caoutchouteux utilisé en impression Offset et que l’on enroule autour du cylindre blanchet. Le blanchet sert à la dépose de l’encre sur le papier, limitant ainsi l’usure prématurée du cliché. L’image à imprimer est transférée de la plaque (cliché) au blanchet qui la dépose sur le papier.
Terme anglais pour définir un caractère typographique en « gras ».
Mode de reliure d’une brochure avec agrafes.
Epreuve photographique haute définition (1270 ou 2540 dpi) servant à la préparation des plaques en vue d’un tirage offset.
Terme regroupant l’ensemble des opérations qui permettent de préparer une machine en vue d’un tirage, notamment la juxtaposition précise des couleurs qui donneront le document.
Nom de l’interface parallèle des PC, initialement dédiée aux imprimantes et utilisée depuis pour les scanners, les lecteurs ZIP, etc.
Description schématique sur papier de toutes les pages d’un document, permettant de visualiser rapidement l’ensemble d’une brochure.
Egalement appelé matrice ou plaque d’impression, c’est la forme imprimante en relief qui, en typographie ou en flexographie, assure le transfert d’un volume d’encre constant dans les zones à imprimer. Il s’agit d’une plaque représentant un visuel (image, texte, etc.) et permettant le tirage de nombreux exemplaires.
Abréviation des trois couleurs primaires Cyan (bleu primaire), Magenta (rouge primaire), Yellow (jaune primaire) et de black (noir). On utilise des pourcentages de ces couleurs primaires pour recréer toutes les autres couleurs dans les impressions quadrichromiques, sauf le noir, qui est donc ajouté.
Carte mémoire offrant des capacités de stockage pouvant atteindre plusieurs Go. La compact flash est principalement utilisée dans les appareils photo numériques, les lecteurs MP3 ou encore les PDA.
Matière composée au minimum d’un support d’impression (le frontal), d’une substance adhésive et d’un protecteur siliconé (le backing). Des besoins spécifiques peuvent nécessiter de combiner plusieurs couches de ces différents éléments.
Loupe permettant de visualiser les points de couleur composant une impression.
Terme anglais désignant la garantie des droits de l’auteur ou de l’éditeur sur une œuvre, une image, un document, etc.
Traitement d’un matériau pour en améliorer son imprimabilité, grâce à une décharge électrique de haute tension et haute fréquence qui modifie l’énergie de surface.
Taille d’un caractère typographique.
Opération consistant à lisser un papier en comblant ses aspérités à l’aide d’un enduit spécial (kaolin). Ce traitement améliore l’aspect et l’imprimabilité du papier en le rendant plus fermé et plus opaque. Le couchage peut être brillant, satiné ou mat.
Papier très lisse amélioré par l’opération de couchage, c’est-à-dire l’ajout de matière (Kaolin) en cours de fabrication. Ce type de support permet d’obtenir un très bon rendu d’impression.
Couche supplémentaire rajoutée sur une image initiale en mode RVB, afin que certaines parties soient transparentes, et d’autres non. La couleur transparente est composée de niveaux de couleurs qui laissent plus ou moins passer la couleur de fond.
Ce sont les couleurs de base, cyan, magenta, jaune et noire (CMJN) à partir desquelles on peut produire en quadrichromie toutes les couleurs existantes.
Epreuve rapide de photogravure obtenue par moyen photographique et servant de référence couleur pour le tirage.
Abréviation de l’anglais «Computer to film». Technologie permettant le flashage des travaux sur film.
Littéralement, administrateur de bases de données, responsable du contrôle de la définition des schémas des bases de données ainsi que de la mise en oeuvre et de la qualité de service des systèmes de gestion associés (performances, répartition, sauvegardes, sécurité, etc.).
De l’anglais «Dynamic Data Exchange» ou échange dynamique de données. Avec ce protocole, des données provenant d’une application peuvent être insérées dans un document d’une autre application. Elles restent liées à l’application d’origine. Tant qu’elles restent sur le même support, on pourra les mettre à jour à partir de ce dernier. Mais, à la différence de OLE, on ne pourra pas lancer l’application d’origine en cliquant dans l’objet.
Motif / forme découpé dans le bristol, le papier ou tout autre matériau à l’aide d’une matrice (outil de découpe).
Découpe du complexe adhésif dans son ensemble (frontal, adhésif, protecteur).
Découpe d’une étiquette n’affectant que le frontal ou le protecteur.
Image non tramée présentant des nuances de gris ou des dégradés.
Partie colorée ou grisée d’une valeur intermédiaire entre le clair et le foncé.
Quantité totale d’encre déposée sur un point ou sur une zone donnée.
Séparation des formes d’une silhouette d’un personnage, d’un produit ou autre objet du fond de l’image.
Mode de reliure des différents cahiers d’un livre avec de la colle à chaud dans une couverture. L’aspect de la reliure est carré. Quand le nombre de cahiers est important, ils peuvent être cousus en plus du collage ; dans ce cas, on parle de « dos carré collé cousu ».
Abréviation de l’anglais «Dot Per Inch», points par pouce. Mesure utilisée pour définir la qualité d’une image, la résolution des imprimantes, scanners, etc. Plus ce nombre est grand, meilleure sera la résolution et la définition de l’image.
Matériau siliconé servant de support à l’étiquette adhésive (également appelé backing ou protecteur) et qui sera ôté pour permettre le collage de l’étiquette.
Procédé qui consiste à déposer en relief un film de dorure, à froid ou à chaud, sur une partie du document pour lui donner un aspect luxueux.
Opération qui consiste à enlever le « squelette » ou surplus de frontal autour et entre les étiquettes après découpe.
Ce sont les quatre encres de la quadrichromie : jaune, magenta, cyan et noir.
Distance non imprimée entre deux étiquettes.
Image photographique positive sur support transparent.
Impression en relief. Le support à embosser est déformé avec une forme en relief.
Elle détermine la surface de contact entre une goutte de liquide et une surface solide. C’est ce phénomène qui caractérise l’imprimabilité d’un support.
Elargissement d’un trait ou chevauchement de couleurs au point de rencontre des encres. Egalement appelé «grossi», «débord» ou «trapping».
Abréviation de l’anglais «Encapsulated PostScript», c’est-à-dire fichier de « description de page » décrivant une image sous forme de langage PostScript contenant des données binaires d’image. Format d’image très largement utilisé par les logiciels de PAO (QuarkXPress et Adobe InDesign), de retouche d’image (Adobe Photoshop) ou de création graphique (Adobe Illustrator).
Sortie imprimante en couleur ou en noir et blanc sur papier. Elle permet au client de vérifier, avant tirage, la mise en page, les textes et les différentes couleurs de façon approximative. Si l’épreuve est satisfaisante, elle donne lieu au BAT (bon à tirer) qui engage la responsabilité du client.
Dépôt d’un matériau (exemple : film de dorure) sur un support, au moyen d’une matrice en relief.
Réseau local rapide et très répandu. La vitesse de transmission est de 10 Mbps et la limite de chaque section est de 2.5 km. Une nouvelle version d’ethernet appelée 100-Base-T offre une vitesse de transmission de 100 Mbps.
Reproduction à l’identique réalisée à partir de l’original.
Terme générique regroupant l’ensemble des opérations permettant la finition d’un produit issu de l’imprimerie : pliage, rainage, collage, grecquage, emballage, assemblage, encartage, perforation, pose d’œillets, coins arrondis, reliure, agrafage, massicotage, mise sous enveloppe, routage, etc.
Motif réalisé lors de la fabrication du papier, par l’écrasement des fibres dans l’épaisseur de la feuille et visible par transparence.
Négatif ou non, il décompose un visuel par couleurs et permet ensuite la fabrication du cliché nécessaire pour l’impression d’un document.
Microcode logiciel permettant de piloter le matériel associé. En règle générale, le firmware est stocké sur une mémoire flash permettant de le mettre à jour pour corriger certains bugs ou ajouter des nouvelles fonctionnalités.
Terme français désignant le travail qui consiste à réaliser des films préliminaires à l’impression ou bromures haute définition d’après une disquette informatique.
Le procédé flexographique est un procédé d’impression en relief, à transfert direct, déposant une encre qui sèche par évaporation.
Débordement de l’adhésif sur les cotés de l’étiquette.
Matière ou encre de couleur très vive (jaune, vert, orange, etc.) qui permet d’interpeller rapidement la cible commerciale.
Terme utilisé pour désigner la couleur dominante d’un document à reproduire.
Fait d’agrandir un fond imprimé par rapport au format d’un document, afin d’éviter un contour blanc lors de la découpe.
Jeu complet de lettres, chiffres, ponctuations et caractères spéciaux appartenant à une même famille typographique, plus couramment appelé Police.
Dimension d’un document. En informatique, le format de fichier est caractérisé par l’extension d’un document (pdf, jpeg, eps…).
C’est le format connu sous le terme portrait, la dimension correspondant à la hauteur est plus grande que la largeur.
C’est le format connu sous le nom paysage, la dimension correspondant à la largeur est plus grande que la hauteur.
A0+ : L = 1310 mm et de Hauteur illimitée A0 : L = 841 x H = 1188 mm A1 : L = 594 x H = 841 mm A2 : L = 420 x H = 594 mm A3 : L = 297 x H = 420 mm A4 : L = 210 x H = 297 mm A5 : L = 148,5 x H = 210 mm A6 : L = 105 x H = 148,5 mm
Partie noble du support, destinée à l’impression. Il peut être de qualité ou de nature différente selon les applications.
De l’anglais «File Transfer Protocol», protocole TCP/IP par lequel on peut envoyer ou recevoir des fichiers entre ordinateurs. L’absence quasi-totale de sécurité du protocole FTP (mots de passe circulant en clair) lui fait aujourd’hui préférer le protocole SSH.
Feuille / étiquettes imprimées, servant généralement au réglage de la machine et ne pouvant pas être facturées au client du fait de leur qualité.
Procédé permettant de mettre en relief une image ou une partie de l’image imprimée, par la pression du document entre une plaque mâle (avec les motifs en relief) et une plaque femelle.
Gestion Electronique de Documents : système d’archivage, de tri, de gestion et éventuellement de traitement de documents numériques.
Poids au m² d’une feuille ou du complexe adhésif de l’étiquette.
Opération consistant à creuser au moyen d’un burin ou d’un acide un support métallique (taille-douce, photogravure typo et gravure relief).
Dans la finition des livres épais, cela consiste à pratiquer sur l’ensemble des dos des livres des rainures permettant la pénétration de la colle dans le papier (avant pose de la couverture).
Mise en place correcte des pages devant apparaître sur une même plaque.
Technique qui permet le passage direct d’un fichier informatisé à l’impression, sans nécessiter de films ou de clichés.
Technique d’ennoblissement d’un imprimé offset consistant à apposer une poudre à base de résine sur le document fraîchement imprimé. Cette poudre gonfle sous l’effet de la chaleur au passage dans un four.
Service qui prépare chaque visuel fourni pour le flashage, le tirage et la fabrication. Ensemble des techniques de création et de traitement électronique des images.
Voie d’échange d’informations qui permet à un ou plusieurs ordinateurs ou à des périphériques informatiques (imprimantes, moniteurs, modems, etc.) de communiquer.
Abréviation de l’anglais «Joint Photographic Expert Group», c’est-à-dire groupe d’experts ayant eu pour mission de mettre au point un algorithme de compression d’images fixes stockées sous forme numérique. Par extension, format de fichier graphique permettant des taux de compression impressionnants comparativement aux formats précédents, mais au détriment de la qualité de l’image, puisqu’il s’agit d’un format destructeur. L’extension de fichier correspondante est JPG.
Répartition harmonieuse des mots sur une ligne de longueur prédéterminée.
Nom d’origine japonaise, synonyme de panneau imprimé ou de visuel.
Papier super calandré passé contre un cylindre chromé très lisse. Egalement appelé Chromolux.
Correspond à la largeur de la bobine de matière imprimable.
Abréviation de l’anglais : «Liquid Cristal Display». Il s’agit d’un type d’écran utilisant un liquide dont les molécules allongées se combinent en structures cristallines qui laissent passer la lumière selon leur orientation. Tous les ordinateurs portables utilisent des écrans de ce type. Il existe deux sortes d’écrans LCD : les moniteurs à matrice passive qui donnent des images d’une qualité assez médiocre mais qui étaient moins chers que les écrans à matrice active qui permettent d’obtenir des images d’une qualité bien supérieure.
Initiale qui débute un chapitre, embrassant deux ou plusieurs lignes de texte.
Ensemble de lignes, composées de points, qui forme le visuel final. Elle s’exprime en lignes/cm ou pouces et en cicero.
Emblème graphique d’une société ou d’une collectivité.
Abréviation de l’anglais «Line per Inch», c’est-à-dire, le nombre de lignes par pouce. Unité servant à mesurer la linéature d’une trame.
Tout document destiné à un routage par voie postale.
Tube en carton ou en plastique sur lequel sont enroulés les étiquettes imprimées ou les rubans transfert thermique.
Ce procédé consiste à imprimer en chauffant le support d’impression afin de faire apparaître un texte.
Appareil destiné à la découpe à angle droit du papier ou d’autres matériaux.
Basée sur le même principe que la mémoire vive, la mémoire flash présente la particularité de conserver les données qu’elle enferme, même quand elle n’est plus alimentée en électricité. L’écriture et l’effacement se font de manière très rapide, d’où son nom de mémoire flash.
Egalement appelée «RAM», abréviation de l’anglais «Random Access Memory», le contenu de cette mémoire peut être modifié en usage normal. Contrairement à la mémoire flash, elle perd son contenu dès qu’elle n’est plus alimentée. C’est dans cette mémoire que sont stockés, de manière temporaire, tous le fichiers que l’ordinateur exécute.
Fichier qui regroupe d’autres données que ses informations originelles (infos vectorielles, Pantone, infos concernant l’impression, …).
Phénomène qui, sous un éclairage donné, fait apparaître identiques certaines couleurs présentant pourtant des courbes spectrales différentes. Cet aspect identique disparaît sous un autre éclairage.
Abréviation de mégaoctet. Cette unité mesure la capacité de stockage d’un support informatique.
Effet visuel comparable à du flou, constatable lors de la reproduction d’une image déjà tramée lorsque les trames ne sont pas orientées de façon convenable.
Ne comprenant qu’une seule couleur.
Désigne en imprimerie la concentration des points de trame et est donc directement en rapport avec le rendu de l’image. Un niveau de gris peut donc varier du blanc au noir. Il en est de même pour les autres couleurs primaires.
Echantillonnage de couleurs utilisé pour le choix des encres ou des papiers (on parle de nuanciers Pantone, RAL, etc.).
Opération consistant à transformer un document papier en fichier informatique.
Procédé d’impression, basé sur la répulsion de l’encre par de l’eau ou une substance siliconée, dans lequel l’encre est transférée de la plaque au blanchet, puis du blanchet au support d’impression (papier ou autre).
Outil permettant la découpe de la forme de l’étiquette. Cette forme peut être classique (rectangle, ovale…) ou originale (silhouette…).
Abréviation de l’anglais «Open Data Base Connectivity», c’est-à-dire connexion ouverte aux bases de données. Interface développée par Microsoft qui permet l’accès aux systèmes de bases de données. Lorsque le pilote correspondant est installé dans le système d’exploitation, l’utilisateur peut accéder à partir d’un programme d’application à diverses bases de données, sans aucune différence.
Abréviation de l’anglais «Object Linking and Embedding», soit littéralement, liaison et imbrication d’objets. Il s’agit en fait d’une technique mise au point par Microsoft pour faciliter l’échange de données entre les programmes sous Windows. OLE est basé sur le DDE (échange de données dynamique).
Ton direct défini selon la nomenclature Pantone ® Matching System. Pantone est un des standards de l’industrie en matière de sélection des couleurs d’imprimerie. Cette grille de couleurs offre une méthode fiable pour sélectionner, spécifier, et mettre des couleurs en correspondance pour tous les outils de traitement possibles. C’est le meilleur moyen de garantir la conformité des couleurs lors de travaux d’impression.
Abréviation de «Publication Assistée par Ordinateur». Désigne un processus informatisé de mise en page ou de création de maquette.
Abréviation de l’anglais «Portable Document File», fichier produit à partir du logiciel Adobe Acrobat.
Action de déposer un film synthétique par lamination sur un support imprimé (ex : étiquette), afin de le rendre plus brillant, plus mat ou plus résistant.
Logiciel permettant le traitement des images.
Traitement des photos pour leur impression en offset.
Il s’agit d’une représentation graphique schématique ou d’un dessin figuratif stylisé fonctionnant comme un signe d’une langue écrite.
Abréviation de l’anglais «Picture Cell», point le plus petit d’un visuel. Plus la résolution du visuel est grande, plus le point est petit. Les images numériques sont composées de pixels ayant chacun un ton ou une couleur spécifique.
Présentation des étiquettes sur une feuille.
Support photosensible utilisé en imprimerie offset pour le transfert de l’image sur le blanchet.
Façonnage à plis successifs.
Pliage à deux plis perpendiculaires constituant un huit pages.
Pliage à trois plis parallèles permettant le repli des deux feuillets extérieurs vers le pli central intérieur.
Publicité / Promotion sur le Lieu de Vente.
Plus petit élément d’une image reproduite par similigravure, de forme et de dimension variables.
Ensemble de caractères typographiques d’une même famille, déclinée en tailles différentes (exprimée en points) et variantes stylistiques (romain, italique, maigre, gras, etc.
Film synthétique blanc, également appelé PET (abréviation de polyéthylène téréphtalate), caractérisé par une totale stabilité dimensionnelle, une solidité chimique et physique.
Film synthétique souple et étirable, également appelé PE. Il peut être blanc, brillant, transparent, avec couche de surface.
Réaction chimique ou procédé permettant la synthèse d’un polymère à partir de monomères. Dans le cas des étiquettes adhésives, on parle d’une durée de polymérisation, c’est-à-dire le temps nécessaire pour garantir la bonne adhésion de l’étiquette sur son substrat.
Film synthétique rigide également appelé PP. On le trouve blanc, brillant ou transparent.
Interface de sortie communément utilisée pour les imprimantes pour la transmission des données, octet par octet (en bloc), et non bit par bit (en file) comme les ports série. La vitesse de transmission est donc plus élevée.
Le port série permet de véhiculer des informations en série, à l’opposé d´une interface parallèle qui peut véhiculer un mot entier en une période donnée. Les mots à transmettre sont donc auparavant codés puis ensuite décodés à leur arrivée pour pouvoir être interprétés, les bus internes des ordinateurs étant de type parallèle.
Un ou plusieurs exemplaires imprimés simultanément sur la même feuille.
Langage informatique qui permet aux systèmes de sorties (flasheuse, imprimante) de disposer des textes, des dessins, des images dans un même langage standard que celui des ordinateurs.
Ensemble des actions préparatoires réalisées avant l’impression : mise en page des textes / infographie, flashage / photogravure, film et clichés.
Tirage à une quantité limitée d’exemplaires non définitifs.
En impression offset, bande de papier non imprimable, nécessaire pour que les pinces de la presse offset puissent prendre les feuilles. Il est donc nécessaire de prévoir cette zone lors de la réalisation de la maquette.
Papier siliconé apposé au dos de l’étiquette, au contact de l’adhésif, qui sera ôté lors de la dépose de l’étiquette.
Procédé de reproduction d’images couleur utilisant des pourcentages de Cyan, de Magenta, de Jaune et de Noir (CMYK). Avec cette technique, la gamme de couleurs est infinie.
Empreinte en creux sur les papiers de fort grammage destiné à en faciliter le pliage.
Abréviation de l’anglais «Random Access Memory», le contenu de cette mémoire peut être modifié en usage normal. Contrairement à la mémoire flash, elle perd son contenu dès qu’elle n’est plus alimentée. C’est dans cette mémoire que sont stockés, de manière temporaire, tous le fichiers que l’ordinateur exécute.
Découpe réalisée sur le dorsal d’une planche pour faciliter la séparation des étiquettes du support siliconé.
Force qu’il faut exercer pour séparer le frontal adhésivé de son protecteur.
Technique d’ennoblissement de l’imprimé offset. Apposition d’une poudre à base de résine sur un document fraîchement imprimé. Cette poudre gonfle sous l’effet de la chaleur au passage dans un four.
Dans le pré-presse, technique qui consiste à répéter une étiquette, suivant un outil de découpe, pour remplir complètement un cliché d’impression.
Nouvelle impression sur un document déjà imprimé.
Photocopie d’un original.
Nombre de points par lignes par unité de mesure (300 DPI par exemple) qui définit la qualité de l’image reproduite.
Cette technique remplace par du noir, les gris et noirs obtenus par superposition des couleurs jaune, magenta et cyan, dans les zones d’ombre d’une image.
Abréviation de l’anglais «Raster Image Processor», calculateur qui transcrit les informations écrites sous forme de description de page en une série de commandes utilisées par la flasheuse ou l’imprimante.
Machine d’impression qui fait défiler la bande par succession de rouleaux, l’imprime et l’enroule en fin de parcours.
Désigne les opérations d’envois groupés de courriers à des adresses particulières.
Rouleau encré utilisé lors de l’impression par transfert thermique.
Mode colorimétrique adapté à la diffusion sur un écran, par opposition au CMJN de la quadrichromie : les pixels sur un écran sont en fait formés par la juxtaposition de trois petits « points lumineux » Rouge, Vert, Bleu.
Principe permettant de sécher l’encre grâce à des rayons UV. L’encre se fixe sur le support par polymérisation.
Sens dans lequel s’enroule la matière afin de l’adapter à une dépose automatique. On parle d’enroulement intérieur lorsque, à l’observation d’une bobine neuve, on ne peut voir le frontal.
Position dans laquelle une étiquette se présente sur le support.
Mode d’impression qui utilise des encres résistantes aux UV. La sérigraphie permet d’utiliser des encres plus épaisses, qui créent un léger relief sur le support. La densité de l’encre permet aussi d’imprimer des tons clairs sur des supports foncés.
Graphisme des lettres d’une société ou d’un organisme.
Protecteur anti-adhérent dont est enduit le dorsal.
Support sur lequel l’étiquette est destinée à être collée.
Transformation d’un document papier, opaque ou transparent en un fichier numérique (voir numérisation).
Tirage sur diapositive d’une image numérique.
Valeur représentant la force nécessaire pour séparer un adhésif d’un substrat après un temps de contact très court.
Pour obtenir une bonne imprimabilité, il est nécessaire que l’encre et le support à imprimer aient des niveaux de tension superficielle et d’énergie de surface compatibles.
Ensemble des éléments graphiques communs placés au même endroit à chaque en-tête de page.
Qualificatif d’un support papier ou synthétique ayant subi un traitement chimique pour réagir à la température, souvent utilisé dans des applications d’impression poids/prix ou d’identification de transport où la durée de vie de l’étiquette est assez courte.
Format de fichier d’image fréquemment utilisé par les logiciels de dessin et de retouche.
Teinte imprimée sur un document avec une encre à la couleur définie.
Marques imprimées sur le document qui permettent de déterminer les endroits où il doit être coupé.
Il s’agit d’un maillage de points permettant de reproduire les similis, mesurée en linéature (points par pouce).
Mode d’impression qui consiste à déposer un film sur une étiquette à des endroits précis pour reconstituer un texte ou un visuel. Cette technique est souvent utilisée pour le repiquage.
Polices de caractères vectorielles définies par Apple et Microsoft, mais qui, contrairement aux polices PostScript, sont incompatibles avec les flasheuses. Elles ne peuvent donc pas être utilisées en imprimerie.
Procédé d’impression qui utilise des plaques en relief pour déposer l’encre sur le support.
Frontal synthétique blanc mat, à base de fibres polyoléofiniques, ayant l’aspect du papier, mais extrêmement résistant.
Abréviation de l’anglais «Universal Serial Bus», norme destinée à brancher les claviers, scanners, et autres périphériques dits «lents». L’interface USB 1.1 permet de connecter à un micro-ordinateur jusqu’à 127 périphériques pour un débit maximal de 12 Mbits/s, soit 1.5 Mo/s, le tout sur un bus série.
Il s’agit, comme son nom l’indique, de la 2ème mouture de l’USB. Cette connexion assure un transfert de 60 Mo par seconde et est compatible avec l’USB 1. Cette augmentation de vitesse par rapport à l’USB 1 a été notamment possible grâce à la réduction du voltage des signaux transmis dans les câbles, ceux-ci passant de 3.3V à 0.4V.
Adjectif attribué à un type d’image, composée de formes géométriques (segments, courbes), par opposition au «Bitmap» (point par point).
Papier d’entrée de gamme, non couché.
Papier avec motifs constitués de fines lignes parallèles horizontales dans l’épaisseur du papier, reliées par des lignes verticales.
Action de déposer un vernis sur une impression pour la protéger et lui donner un aspect brillant ou mat.
Additif enrobant les pigments de l’encre, dont la nature influence le mode de séchage.
Adhésif transparent représentant une publicité ou un visuel, destiné à être collé sur une vitre / une vitrine. Cette technique permet une parfaite lisibilité en intérieur comme en extérieur tout en conservant la luminosité naturelle.
Abréviation de l’anglais «Wireless Fidelity». Désigne la technologie IEEE 802.11x de réseau local Ethernet sans fil (WLAN). Le WiFi est composé de plusieurs normes qui opèrent sur des fréquences radios différentes.
Abréviation de l’anglais «Wireless Local Area Network», réseau local utilisant des transmissions sans fil, radio ou infrarouge à la place des câbles traditionnels, afin de relier ordinateurs et périphériques.
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